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« Je suis heureux de faire de mon mieux » : les athlètes olympiques spéciaux incarnent l’esprit et la passion du sport

Frères en quelque sorte, Matthew Lai est blotti à côté d’Eric Pahima, son coéquipier de C.-B. aux Jeux olympiques spéciaux, sur le banc du lieu réservé aux étreintes et aux larmes, à ces Jeux d’hiver du Canada, regardant discrètement les deux roses qui se trouvent dans la main droite de son ami.

Avec un peu de tristesse dans sa voix, presque inaudible, Matthew se penche vers lui et dit : « Je n’ai pas eu de fleurs. »

Sans pause, immédiatement après avoir entendu ces paroles, Eric prend une fleur et la tend à son ami.

« Tu peux en avoir une des miennes. »

Figure skater.

Instantanément, les deux visages s’illuminent d’un grand sourire. Ils s’étreignent. Autour d’eux, ceux qui sont témoins de cet acte spontané de gentillesse se regardent l’un l’autre comme pour dire « je vous défie de ne pas pleurer ».

Il n’y a guère de doute et on ne pourrait nier que ces athlètes olympiques spéciaux représentent le véritable esprit de ces Jeux d’hiver du Canada.

Il va sans dire que le patinage artistique, de par sa nature, est un sport plein d’émotions. Les sourires et les larmes, les rires et les câlins résident dans son âme.

Mais, ces concurrents ont tous le sourire aux lèvres et nous montrent ainsi pourquoi nous aimons le sport, pourquoi nous les acclamons et les applaudissons. Non seulement pour les médailles remportées, mais pour avoir osé rêver, être témoins de triomphes personnels et de persévérance.

Les larmes? C’était pour tous les autres dans l’édifice.

Figure Skater.

Credit: Dyanne Dimassimo

« Voilà en quoi consiste le sport – des athlètes qui font de leur mieux », a déclaré Brittany Baril, entraîneure de l’équipe de Terre-Neuve-et-Labrador pour les Jeux olympiques spéciaux. « C’est ce que nous montrent ces athlètes. Ne ménager aucun effort et faire de son mieux. Rien d’autre n’importe vraiment. »

« Il arrive de temps à autre à chacun de nous de perdre notre passion en cours de route. Ces athlètes nous rappellent combien il est important de garder cette passion. Ils l’ont toujours. »

« C’est parfois difficile de se ressaisir », ajoute Brittany. Sa voix commence à trembler et elle doit prendre une respiration.

« C’est un lien unique que nous partageons et c’est très gratifiant », ajoute-t-elle après une pause. « À titre d’entraîneur, on veut simplement enseigner l’amour de patinage et donner quelque chose en retour. C’est de ça qu’il s’agit. L’amour de patinage, peu importe le niveau. »

Tout comme Brittany, l’entraîneure en chef de patinage artistique de l’équipe de Colombie-Britannique pour les Jeux olympiques spéciaux, Jessica Chapelski a essuyé sa juste part de larmes durant ces Jeux. « « J’ai perdu le compte de combien de fois j’ai pleuré », admet Jessica. « Je n’essaie même plus de compter. »

« Ces athlètes méritent d’être ici, méritent de faire partie de cette équipe et ceci représente tout pour eux. Ils sont applaudis. Ils se sentent libres. »

Figure Skater.

Credit : Dyanne Dimassimo.

Se trouvant aux côtés de Michael Sumner, un de ses athlètes de l’équipe du Yukon, l’entraîneure Michelle Semaschuk trouve aussi difficile de maîtriser ses émotions. Pendant qu’elle parle, les larmes lui montent aux yeux et elle s’arrête, emportée par l’émotion du moment.

Tel un signal, Michael se penche vers son entraîneure et l’étreint chaleureusement, pour la réconforter.

Il semble que les étreintes sont obligatoires ici.

« Voir cette camaraderie, cette persévérance peut être difficile à gérer », admet Michelle. « On peut constater la passion, l’amour dans leurs yeux. Michael continue à se développer et à devenir ce merveilleux jeune homme, avec le plus grand cœur que vous ne verrez jamais. »

« Ce fut une expérience formidable pour tous nos athlètes », a soutenu Cathy Skinner, de l’équipe de l’Ontario. « C’est incroyable. Voir la foule, même les juges, les applaudir et les acclamer signifie tout pour ces athlètes. Ils sont tous amis. Ils veulent s’asseoir ensemble. C’est juste une expérience de vie que la plupart d’entre eux n’ont jamais eue. Ils n’ont pas de larmes. Ils n’ont que des sourires. S’ils n’ont pas gagné, un de leurs amis a été victorieux. »

« Nous pourrions tous apprendre d’eux. »

« Comme les autres concurrents, Matthew Lai aime se produire et il adore le temps passé au centre de la glace. Suite à ses performances à ces Jeux, il a levé les bras vers le haut en triomphe lorsqu’il a quitté la glace, savourant l’adulation de la foule, à ce moment qui lui appartenait.

Canada Winter Games. Athlete and coach.

« J’aime quand la foule applaudit Matthew et ses éléments », dit-il.

« J’applaudis pour le drapeau de la Colombie-Britannique. Je suis heureux de faire de mon mieux. »

Il s’avère en fin compte que Matthew quittera ces Jeux avec une médaille d’or. La médaille, comme sa note, ne semble pas être importante.

Ce qui compte le plus, c’est qu’il part avec ses amitiés. Ses souvenirs. Et sa fleur.

Une deuxième journée de patinage artistique se termine aux Jeux d’hiver du Canada

L’Ontarienne Alison Schumacher a choisi le moment idéal pour sortir de son chapeau son meilleur programme court de la saison.

Du haut de ses 4 pieds 4 pouces, la bouillonnante patineuse de 12 ans rayonnait lors du programme court novice féminin aux Jeux d’hiver du Canada en route vers une note de 38,97, un sommet personnel qui la catapulte au premier rang, tout juste devant la championne canadienne Rachel Pettitt du Yukon (38,89).

« Je voulais vraiment obtenir ma meilleure note à vie ici, et j’ai été capable de le faire, alors je suis pas mal excitée et j’ai hâte au programme libre (jeudi) », explique Schumacher, qui s’entraîne aux côtés du membre de l’équipe nationale Elladj Baldé à Detroit.

La deuxième journée complète de la compétition de patinage artistique des Jeux mettait en vedette les patineurs novices et Olympiques spéciaux.

En couple novice, le tandem frère-soeur Olivia et Mackenzie Boys-Eddy, médaillés d’argent aux derniers championnats canadiens, mène après le programme court avec une note de 34,88, devant le duo québécois de Lori-Ann Matte et Thierry Ferland (33,13).

« On est tellement fiers de représenter l’Ontario et on veut juste faire de notre mieux pour récolter des points pour l’équipe », dit Mackenzie.

« C’est probablement la plus grande foule devant laquelle on a patiné. Les applaudissements et les cris étaient tellement forts », ajoute Olivia.

« Notre but ultime, c’est les Jeux olympiques 2022. Ces Jeux, c’est un gros pas en avant dans cette direction pour nous. »

Fraîchement médaillé d’argent au championnat canadien le mois dernier, le Québécois Gabriel Farand occupe le premier rang après avoir obtenu une note de 40,58 au programme court novice.

Dans la dernière épreuve de la journée, la danse sur tracé, les champions canadiens Marjorie Lajoie et Zachary Lagha du Québec prennent la tête du classement en amont de la danse libre jeudi.

Dans la compétition des Olympiques spéciaux, Stephanie Divin de la Colombie-Britannique mène après les éléments niveau 2, tandis que l’Albertaine Meg Ohsada est première après les éléments niveau 3.

UNE HISTOIRE DE FAMILLE

Il y a du talent à revendre dans la famille Boys-Eddy, et pas seulement sur la glace.

Olivia et Mackenzie Boys-Eddy de l’équipe de l’Ontario mènent après le programme court novice, mais ils font aussi les manchettes à l’extérieur de la patinoire.

Mackenzie, 16 ans, est aussi musicien : la reprise de la chanson classique de Percy Mayfield Hit the Road, Jack sur laquelle son frère et elle ont fait leur programme court, c’est lui qui l’a enregistrée.

« J’ai appris à jouer au piano quand j’étais très jeune et j’ai appris cette chanson-là quand j’avais 10 ou 11 ans, se rappelle Mackenzie. Ça fait tellement d’années que je la joue et c’est une chanson tellement l’fun que j’ai décidé d’enregistrer ma propre version et de la produire avec une section de cordes et une section de cuivres. »

Sa petite soeur Olivia n’est pas en reste : la jeune de 12 ans a aussi un peu de show-business en elle. Elle a joué le rôle de cascadeuse dans le film de Ryan Reynolds The Captive.

« Ça a été une expérience incroyable, raconte Olivia, qui mesure 4 pieds 7 pouces. Je n’avais jamais fait quelque chose comme ça avant. Ils cherchaient quelqu’un qui pouvait faire une spirale de la mort, était petit, et avait les yeux bleus et les cheveux blonds. »

« C’est pas mal moi! » ajoute-t-elle en riant.

DANS LES TRACES DE SON GRAND-PÈRE

L’Olympienne spéciale Stephanie Divin a du champion dans le sang : son grand-père, Karol Divin, a représenté l’ancienne Tchécoslovaquie à trois Jeux olympiques (1956, 1960, 1964), remportant une médaille d’argent en 1960. D’ailleurs, il partageait le podium avec le Canadien Donald Jackson, champion du monde de 1962, qui avait obtenu la médaille de bronze.

« C’est pas mal excitant d’avoir un grand-père qui est célèbre, dit Stephanie. Je veux patiner de mon mieux ici et avoir de beaux souvenirs. »

C’est bien parti pour Stephanie Divin, qui mène le classement après les éléments de niveau 2 des Olympiques spéciaux et pourrait fort bien quitter Prince George avec sa propre médaille.

MERCREDI

La première vague de médailles de patinage artistique sera décidée mercredi avec les programmes libres pré-novice hommes (10 h 15 HP), danse sur glace (11 h 50), couple (16 h 50) et femmes (17 h 35). Les programmes libres masculins Olympiques spéciaux (niveaux 2 et 3) seront présentés mercredi à compter de 12 h 50. La remise des médailles (pré-novice, novice et Olympiques spéciaux) a lieu jeudi soir.

Cliquez ici pour voir les ordre de départ et les résultats

Remise des premières médailles en patinage artistique

Trois fuseaux horaires plus loin, Brian Orser devait sourire.

Stephen Gogolev, qui s’entraîne sous l’aile du double médaillé d’argent olympique au Toronto Cricket Skating and Curling club, a été extraordinaire cette semaine aux Jeux d’hiver du Canada.

Moins de trois mois après avoir été sacré champion canadien chez les pré-novices, le patineur de 10 ans ajoute un autre fleuron à sa couronne mercredi en s’imposant devant une salle bondée et bourdonnante à Prince George. Le jeune était tout simplement dominant, obtenant une note de 73,17 pour le programme libre pour un total de 114,04. Le Québécois Samuel Turcotte (93,51) obtient la médaille d’argent, tandis que le favori de la foule, Justin Hampole (91,88) de Prince George, décroche le bronze.

« Je suis venu ici pour faire de mon mieux et je suis très content de rentrer à la maison avec une médaille d’or, explique Gogolev aux journalistes. Ça a été une très belle expérience pour moi. »

Deux derniers concurrents à s’élancer dans la compétition masculine novice, Hampole et Gogolev ont fait vibrer les murs de l’aréna Kin I en soulevant la foule l’un après l’autre.

Gogolev et Hampole se sont liés d’amitié cette semaine, passant du temps ensemble à l’extérieur de la patinoire.

« On s’en va à la compétition de pistolets NERF plus tard aujourd’hui (mercredi), raconte Hampole en riant. On a vraiment eu la chance d’apprendre à se connaître à cette compétition. On s’est vu autour de l’hôtel et au village, c’était cool. »

En danse sur glace pré-novice, les champions canadiens en titre Arianne Bonneau et Oliver Zhang du Québec remportent la médaille d’or avec une note de 40,66 dans la danse libre pour un total de 68,75. Les Ontariens Han Na Kim et Corey Circelli sont deuxièmes avec 58,80 points, tandis que Tori Shmon et Alexander Hopkins de Saskatchewan terminent troisièmes.

« On est très heureux parce qu’on a atteint tous nos objectifs cette année, dit Zhang. On voulait venir aux Jeux du Canada et gagner l’or pour le Québec. Cette médaille signifie beaucoup pour nous. »

Le Britanno-Colombien Matthew Lai remporte l’épreuve des Olympiques spéciaux niveau 2, suivi d’Eric Pahima (C.-B.) en deuxième et Michael Sumner (Yukon) en troisième. Dans l’épreuve de niveau 3, Jack Fan (Ontario), Thomas Babcock (Ontario) et Emanuel Bou Lutfalah (Québec) sont respectivement premier, deuxième et troisième.

En fin de soirée mercredi, les champions nationaux en titre Hannah Dawson et Daniel Villeneuve décrochent l’or en couple pré-novice avant que la championne canadienne Sarah-Maude Blanchard du Québec s’empare de l’or de justesse devant la Britanno-Colombienne Olivia Gran chez les femmes pré-novices.

« Ça a été une saison inespérée : le titre de champions canadiens, puis cette médaille d’or, quelle expérience », dit Dawson.

« Ça a été une expérience merveilleuse pour nous, la foule n’aurait pas pu être mieux, ajoute Villeneuve. Nous nous souviendrons de ces Jeux pendant longtemps. »

Les concurrents novices et les femmes des Olympiques spéciaux présentent leur programme libre jeudi. Voici l’horaire (Heures du Pacifique) :

  • Novice couple libre 12 h
  • Novice femmes libre 12 h 40
  • Olympiques spéciaux femmes niveau 2 – libre 14 h 55
  • Olympiques spéciaux femmes niveau 3 – libre 15 h 45
  • Novice danse libre 19 h 05
  • Novice hommes libre 20 h 05

La remise des médailles (pré-novice, novice et Olympiques spéciaux) a lieu jeudi soir après la compétition.

Résultats complets : Jeux d’hiver du Canada 2015

Les Jeux du Canada et Konica Minolta dévoilent les porteurs du drapeau des Jeux d’hiver du Canada de 2015

Ottawa – Les Jeux du Canada et Konica Minolta sont heureux d’annoncer les athlètes qui porteront le drapeau des Jeux du Canada à l’occasion de la cérémonie d’ouverture des Jeux d’hiver du Canada de 2015.

Porteront le drapeau emblématique des Jeux à travers le CN Centre le 13 février :

• Susan Auch, triple médaillée olympique, patinage de vitesse
• Éric Bédard, quadruple médaillé olympique, patinage de vitesse
• Robert « Bo » Hedges, double médaillé paralympique, basketball en fauteuil roulant
• Cathy Preistner, médaillée olympique, patinage de vitesse
• Kelsey Serwa, médaillée d’argent olympique, skicross
• Joy Ward-Fera, membre du Hall d’honneur, double médaillée en championnat du monde, aviron

La cérémonie d’ouverture sera diffusée en direct sur TSN à 22 h HE / 19 h HP.

« Nous sommes ravis que ces anciens athlètes des Jeux du Canada soient ici pour vivre l’effervescence des Jeux, qui ont marqué leur cheminement vers les plus hauts échelons de leur sport, se réjouit Tom Quinn, président du Conseil des Jeux du Canada. En défilant sous les acclamations de la foule, ils seront sans doute transportés vers une autre époque, où, portant les couleurs de leur province, ils faisaient leurs premiers pas dans une compétition multisports. »

Le drapeau, lui, aura beaucoup voyagé depuis novembre : il achève une traversée du Canada qui l’aura mené dans chacune des anciennes villes hôtes des Jeux du Canada. La tradition des porteurs du drapeau se poursuit en 2015 grâce à l’appui de Konica Minolta, partenaire national des Jeux.

« Konica Minolta est fier de s’associer à ce grand rendez-vous des meilleurs athlètes de la relève au pays, dit David Armstrong, vice-président marketing chez Konica Minolta Business Solutions (Canada) Ltd. Nous sommes honorés de faire partie de la tradition des porteurs du drapeau et fiers d’appuyer la prochaine génération d’athlètes canadiens ».

Voici une courte biographie des porteurs du drapeau.

Susan Auch
Susan Auch récolte deux médailles d’or et une d’argent en patinage de vitesse aux Jeux du Canada de 1983. Ses succès se traduisent sur la scène olympique : elle gagne une médaille de bronze aux Olympiques de 1998 à Calgary, l’argent à Lillehammer 1994 et l’argent à nouveau à Nagano 1998.

Éric Bédard
Éric Bédard réalise une performance grandiose aux Jeux du Canada de 1995, récoltant quatre médailles d’or. L’expérience propulse sa carrière internationale et olympique : il remporte l’or et le bronze aux Jeux olympiques de Nagano en 1998, l’or aux Jeux de 2002 à Salt Lake City et l’argent aux Jeux de Turin en 2006.

Robert « Bo » Hedges
Robert « Bo » Hedges fait partie des rouages de l’équipe britanno-colombienne de basketball en fauteuil roulant qui s’empare de la médaille d’argent aux Jeux du Canada de 2003 à Bathurst-Campbellton. L’expérience lui sert de tremplin vers les Jeux olympiques, où il raflera l’argent en 2008 et l’or en 2012.

Cathy Preistner
Cathy Priestner s’impose au 400 m de patinage de vitesse aux Jeux du Canada de 1971 sous les couleurs du Manitoba. Elle enchaîne les succès après les Jeux, se qualifiant pour les Jeux olympiques d’hiver de 1972 et 1976. Elle remporte l’argent au 500 m en 1976, devenant la première médaillée canadienne en patinage de vitesse. Elle portera le drapeau du Canada lors de la cérémonie de clôture de ces Jeux.

Kelsey Serwa
Kelsey Serwa remporte l’or en slalom géant aux Jeux d’hiver du Canada – Whitehorse 2007. La précieuse expérience acquise aux Jeux du Canada propulse sa carrière, la menant jusqu’aux Jeux olympiques de 2010 à Vancouver. En 2014, elle confirme sa place parmi les meilleures athlètes de skicross au monde en remportant l’argent à Sotchi.

Joy Ward-Fera
Joy Ward-Fera participe aux Jeux comme skieuse alpin en 1971, remportant l’or au slalom parallèle. Elle fait ensuite le saut à l’aviron, qui la mène aux Jeux olympiques de 1976 à Montréal et à une médaille de bronze aux championnats du monde de 1977 et 1978.

Dévoilement de l’horaire de diffusion et webdiffusion des Jeux d’hiver du Canada de 2015

Ottawa, ON – Les Jeux du Canada, TSN, RDS et SportsCanada.TV ont dévoilé aujourd’hui l’horaire officiel de diffusion et webdiffusion des Jeux d’hiver du Canada de 2015.

« Nous sommes heureux de collaborer avec nos partenaires de diffusion TSN et RDS en vue d’assurer la diffusion des Jeux d’hiver du Canada de 2015, affirme Tom Quinn, président du Conseil des Jeux du Canada. TSN et RDS sont les références au Canada pour l’information sportive. Les Jeux du Canada sont fiers de s’associer au produit de qualité que présentent ces chaînes. »

En plus de diffuser les très attendues cérémonies d’ouverture et de clôture, TSN et RDS présenteront des épreuves de hockey, curling, patinage de vitesse, badminton, ainsi que des faits saillants d’autant d’autres sports que possible.

« Chez RDS, nous sommes fiers de participer au rayonnement des Jeux du Canada depuis déjà près de 20 ans » a déclaré Domenic Vannelli, vice-président Production à RDS. « Et une fois encore cette année, nous pourrons compter sur une équipe aussi passionnée qu’expérimentée qui saura, à coup sûr, rendre à l’écran toute l’énergie et la fougue qui habite les jeunes sportifs venus de partout au pays pour livrer le meilleur d’eux-mêmes, dans le cadre de ces Jeux rassembleurs. »

Après avoir couvert le Championnat du monde de hockey junior à Montréal et Toronto, les diffuseurs TSN et RDS se préparent à diffuser le deuxième grand événement de l’Année du sport : les Jeux d’hiver du Canada de 2015.

Les chaînes présenteront chacune 40 heures de contenu, respectivement en anglais et en français. Les amateurs pourront aussi accéder à la couverture sur TSN.ca et RDS.ca.

« Nous sommes fiers de présenter une couverture étendue des Jeux d’hiver du Canada de 2015, déclare Stuart Ballantyne, directeur général des Jeux d’hiver du Canada de 2015. Grâce à nos partenaires de diffusion et webdiffusion, c’est le pays entier qui pourra découvrir notre récit nordique et s’imprégner de l’ambiance des Jeux. De l’engouement de la cérémonie d’ouverture à la joie de gagner l’or, les Canadiens pourront vivre les Jeux d’hiver du Canada de 2015 dans le confort de leur foyer. »

La webdiffusion des Jeux de 2015 sera présentée du nouveau portail de webdiffusion des Jeux du Canada, www.canadagamestv.ca.

« Ce sont plus de 900 heures de contenu dans presque tous les sports qui seront diffusées sur www.canadagamestv.ca, explique Tom Quinn. On y présentera également un bulletin d’information quotidien qui offrira un regard intime sur les athlètes des Jeux. »

Nouveau webdiffuseur des Jeux du Canada, SportsCanada.TV a l’habitude de couvrir les épreuves sportives de haut niveau.

« SportsCanada.TV est heureux de diffuser 17 compétitions des Jeux d’hiver du Canada de 2015, soit plus de 900 heures de contenu en direct. Nous sommes impatients de faire découvrir les futurs champions du Canada aux auditeurs de partout au pays et au monde. »