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Patinage Canada célèbre ses officiels bénévoles, à l’occasion de la Journée nationale des officiels!

Les officiels de Patinage Canada sont passionnés et dévoués.

Et, ils sont des bénévoles.

Aujourd’hui, alors que la communauté sportive canadienne célèbre la Journée nationale des officiels, nous honorons les officiels dévoués et accomplis de Patinage Canada, qui donnent tant à notre sport, du niveau de la base jusqu’au niveau olympique.

« Au nom de Patinage Canada, je tiens à prendre un moment pour remercier tous nos officiels pour l’inlassable dévouement et la passion incessante dont ils font preuve envers notre sport », a déclaré la présidente de Patinage Canada, Leanna Caron, aussi une officielle active. « Les officiels ont un impact énorme sur le développement de nos athlètes, sur glace et hors de la glace, et contribuent à leur développement en tant que personnes. »

« Les officiels consacrent leur temps et leur expertise, de façon altruiste, pour faire des rétroactions aux patineurs, alors qu’ils poursuivent leurs objectifs et ambitions, tout en s’acquittant de leurs tâches à titre d’officiels et en respectant tous les éléments de l’esprit sportif. Ils représentent une partie vraiment importante du patinage au Canada. »

Les officiels sont réellement les piliers de notre sport. Les juges, les arbitres, les spécialistes des données, les évaluateurs ainsi que les spécialistes et contrôleurs techniques consacrent leur temps pour appuyer, de diverses façons, la participation de tous les patineurs, y compris les journées de tests, les compétitions, les séances de surveillance, les ateliers et les séminaires éducatifs.

« J’encourage les Canadiens à prendre un moment pour remercier tous les officiels de Patinage Canada de leur ardeur au travail et de leur dévouement comme bénévoles », a signalé Karen Howard, présidente du Comité d’affectation et de promotion des officiels de Patinage Canada. « Ces personnes dévouées redonnent à notre sport en faisant quelque chose qu’elles aiment et jouent un rôle important dans le patinage artistique dans tout le pays. »

« Au cœur de tout organisme qui a du succès se trouvent les gens », a soutenu André‑Marc Allain, président du Comité du développement des officiels de Patinage Canada. « Nos officiels continuent à consacrer des heures innombrables au soutien du développement du patinage au Canada, que ce soit au niveau de la base ou communautaire ou sur la scène nationale et internationale. Ce qui est encore plus admirable, c’est qu’une très grande majorité de ces officiels consacrent aussi de nombreuses heures hors glace au perfectionnement accru de leurs compétences, en participant à un certain nombre de séminaires de formation et d’apprentissage. Ces officiels sont vraiment engagés à offrir un rendement optimal, que ce soit à une journée de tests, une séance de surveillance ou une compétition, au profit de tous les patineurs. »

Merci a nos benevoles!.

Pour plus de renseignements sur les officiels de Patinage Canada ou si vous aimeriez devenir un officiel, veuillez contacter le bureau de votre section de Patinage Canada ou visitez la page des officiels de Patinage Canada.

Une carrière bénévole digne du podium

L’extraordinaire bénévole Fran McLellan s’est tout d’abord intéressée aux activités communautaires dans sa ville natale d’Ingersoll, en Ontario, où ses parents étaient d’excellents modèles de rôle quand il s’agissait d’offrir leur temps pour aider.

Le bénévolat était certainement une priorité communautaire et familiale.

Fran se souvient d’avoir été inspirée par le directeur du YMCA local, Al Clark. « Il m’a encouragée à former Teen Town et à organiser les danses du vendredi soir au Y. Il m’a aussi aidée à faire de la natation de compétition et m’a embauchée comme instructrice et sauveteuse à la piscine locale. »

Cette expérience et d’autres ont préparé le terrain pour l’amour du sport de Fran. « Nous nagions l’été et patinions l’hiver », explique Fran. « Mon frère aîné, mes deux sœurs cadettes et moi avons commencé à patiner à un très jeune âge. Mon frère jouait au hockey et les filles suivaient des leçons de patinage artistique. Je me souviens que notre mère nous conduisait aux leçons sur « parcelle » tôt le matin, puis nous emmenait à l’école à temps. »

Bon nombre de ses plus chers souvenirs concernent la participation aux spectacles sur glace du club et le port de magnifiques costumes. « Quelques-uns des costumes étaient loués du Club de patinage Unionville. Je me souviens aussi d’une année où notre entraîneure, Liliane de Kresz, a exécuté un solo sur la musique Sabre Dance. Je n’ai jamais oublié comment vite elle pouvait patiner! »

En grandissant, Fran s’est vouée au perfectionnement de ses propres habiletés de patinage et a finalement obtenu sa médaille d’argent en danse. Une fois mariés, elle et son mari John sont déménagés à Oakville, où le Club de patinage Oakville occupait une place importante dans la collectivité. Fran se rappelle : « Un de mes premiers souvenirs, à notre arrivée à Oakville, était le défilé accueillant Maria et Otto Jelinek, de retour au Canada après les Championnats du monde de 1962, à Prague, avec leurs médailles d’or en patinage artistique en couple. »

Cet événement a suscité son intérêt pour le Club de patinage Oakville.

« Un jour j’ai rassemblé mon courage et je suis entrée dans le club pour voir si je pouvais inscrire nos enfants aux leçons et j’ai été agréablement surprise de constater combien il était facile de le faire. Louis et Marijane Stong ont été leurs premiers entraîneurs – de leçons de groupe – trois fois par semaine. »

Alors que Fran a continué à patiner et a simultanément assumé de nouvelles responsabilités comme bénévole du club, ses enfants ont suivi dans ses traces en ce qui concerne le patinage, Michael au hockey et les filles en patinage artistique. Pendant ce temps, Fran a aussi découvert une autre facette de ce sport, le patinage synchronisé.

À un CAAG, elle a assisté à un atelier sur le patinage synchronisé et écouté la porte-parole Elizabeth Swan. « Elle était tellement enthousiaste à propos de cette nouvelle discipline que tous les participants dans la salle étaient impatients de communiquer les renseignements à leurs clubs. »

Se rendant compte que les patineuses ne pouvaient toutes devenir des Barbara Ann Scott, Fran aimait l’élément d’équipe. « Il y avait très peu de sports d’équipe pour les filles quand j’étais jeune », fait remarquer Fran. « Enfin, avec le patinage synchronisé, les filles et moi avions quelque chose que nous pouvions faire ensemble! »

Fran se souvient du début de ce sport. « Au commencement, les équipes étaient très nombreuses, comptant de 24 à 32 patineuses, de sorte que beaucoup de personnes se trouvaient un nouveau foyer à la patinoire. Les patineuses pouvaient établir de nouveaux objectifs, voyager en équipe aux compétitions en soirée et partager les frais. »

Fran était tellement attirée par le patinage synchronisé qu’elle a continué à patiner de façon compétitive pendant 25 ans comme membre d’équipes adultes et même parfois d’équipes avec ses filles. Oui, Laura et Leanne ont aussi été mordues de patinage synchronisé, étant membres d’équipes à Oakville et Burlington tout en poursuivant des honneurs de patinage plus traditionnels. Laura a fini par obtenir sa médaille d’or en figures, style libre et danse et Leanne, sa médaille d’or en danse.

« Laura a commencé à faire fonction de juge quand elle avait seize ans et est qualifiée pour juger toutes les disciplines – patinage en simple et en couple, danse et patinage synchronisé », se vante Fran. « À l’âge de 9 ans, Leanne était une remplaçante de l’équipe senior à Oakville et a continué à pratiquer le sport jusqu’à sa retraite, à l’âge de 34 ans. »

Fran se souvient de son moment le plus fier comme patineuse de patinage synchronisé. « C’était aux Championnats nationaux de patinage synchronisé, en 1994, à Verdun, au Québec, et notre équipe adulte d’Oakville, patinant sur la musique Pomp and Circumstance, a remporté une médaille de bronze. Je crois que c’était la première fois qu’une mère et ses deux filles patinaient ensemble et remportaient une médaille nationale. »

Fran McLellan

Nationaux adultes 1994 – Fran McLellan

Une fois que Fran a accroché ses patins, sa transition au rôle de bénévole à plein temps était tout à fait naturelle. Bien qu’elle soit de petite stature, son esprit et son enthousiasme contagieux et interminables signifiaient qu’elle pouvait se charger de tâches et les accomplir.

« C’est simplement arrivé comme ça. Un jour, on conduit ses enfants à la patinoire et tout à coup, on assiste à des réunions de planification et on vote pour les budgets. »

Le patinage n’était pas la seule activité sur liste des priorités de Fran. « Je faisais du bénévolat à notre école secondaire, à l’église et au YMCA, j’aidais à toutes les activités à l’école et j’étais bénévole à notre hôpital et à l’IODE, membre de plusieurs comités municipaux et membre fondateur de l’Oakville Sports Hall of Fame. »

Mais, c’est lorsqu’elle a été nommée directrice de l’accréditation pour les Jeux olympiques spéciaux d’hiver que Fran a vécu l’une de ses expériences les plus stimulantes et enrichissantes.

« Mon comité a accrédité plus de 10 000 participants, officiels, gestionnaires, accompagnateurs, artistes, vendeurs de produits alimentaires, directeurs et invités spéciaux. Ce fut un processus d’un an à travailler en étroite collaboration avec les gens de Kodak pour élaborer le système d’identité à photo. L’expérience et les personnes rencontrées en cours de route ont été inestimables. »

De retour à la patinoire, Fran a consacré d’innombrables heures de bénévolat aux compétitions locales, régionales, provinciales, nationales et internationales de patinage. « À la plupart des compétitions de patinage synchronisé, je jugeais, je patinais et je gérais. Toujours un défi pour la représentante technique », dit Fran en riant. « Je devais m’assurer d’enlever mon casque d’écoute avant de revenir au jury! »

Aujourd’hui, à titre de directrice administrative de l’équipe canadienne championne du monde NEXXICE, Fran attend avec impatience l’acceptation du sport dans la compétition olympique. « Je prédis 2022 à Beijing, en Chine. Et, maintenant, cette année pour la première fois, le patinage synchronisé fera partie de la finale du Grand Prix à Barcelone. Comme le dit le dicton, nous avons fait beaucoup de chemin! »

Pour sa vision et son engagement, Fran a été reconnue par sa collectivité à Oakville et sa communauté du patinage. Elle a été intronisée à l’Oakville Sports Hall of Fame cette année et a reçu le prix commémoratif Elizabeth Swan pour ses contributions au patinage synchronisé. Bien qu’elle soit ravie de ces honneurs, le moment de plus grande fierté de Fran s’est produit après les Championnats du monde de patinage synchronisé 2013, à Boston, quand NEXXICE lui a décerné le prix de l’esprit d’équipe.

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Intronisation au Temple de la renommée des sports d’Oakville

Au fil des ans, le nom de Fran est devenu synonyme de bénévolat. « J’ai appris qu’il faut un effort « d’équipe » pour faire bouger les choses. Je me suis fait beaucoup d’amis – jeunes et vieux. »

Pour Fran, le bénévolat a fonctionné de deux façons. Bien qu’elle ait donné son temps et se soit dévouée, le bénévolat lui a donné beaucoup en retour. « Il m’a gardée bien ancrée », dit Fran.

Ses conseils? « Impliquez-vous et restez impliqué. Un jour vous serez heureux de l’avoir fait et vous en garderez des souvenirs pour toujours. »

Dan Thompson, chef de la direction générale de Patinage Canada, donne en retour durant les Jeux panaméricains

Le chef de la direction générale de Patinage Canada, Dan Thompson, redonne à un sport et une communauté qui lui ont tant donné.

Durant la tenue des Jeux panaméricains de 2015 à Toronto et dans la région environnante du Grand Toronto, Dan, un ancien nageur olympique, fait du bénévolat au Centre aquatique et complexe sportif panaméricain/parapanaméricain CIBC, site officiel des Jeux pour la natation.

Allan Gordon, membre de l’équipe des Communications de Patinage Canada, fait aussi fonction de bénévole pendant les Jeux.

Comme le patinage, Dan a la natation dans le sang, même à ce jour.

En fait, les noms de ses deux chiens? Splash et Ripple.

« Il faut toujours avoir une passion dans sa vie, déchaîner cette passion et toujours donner plus qu’on ne prend », affirme Dan. « La natation a fait partie intégrante de ma vie et c’est ma façon de dire merci et de donner quelque chose en retour. »

« J’ai bien aimé le temps passé aux Jeux jusqu’à présent. »

Le site de la natation convient parfaitement à Dan.

Membre du comité des programmes de sport et du legs de Toronto 2015, Dan a été un double médaillé d’argent aux Jeux panaméricains de 1979 (100 m papillon, relais 400 m) à San Juan, Porto Rico.

Ces jours-ci, Dan est à la barre de Patinage Canada, mais parvient toujours à trouver du temps pour éprouver la joie de la natation. Un peu comme la joie du patinage – seulement de l’eau à une température différente.

L’été dernier, Dan a remporté la médaille d’or à Montréal, dans les épreuves du 50 et 100 mètres papillon, aux Championnats du monde FINA des maîtres. Il était également membre de l’équipe canadienne du relais quatre nages 200 mètres qui a été médaillée d’or.

Pan Am swimmers.Durant les épreuves de natation des Jeux panaméricains, Dan qui est membre du comité technique de natation de l’UANA travaille à l’arrière-scène, dans la « salle d’attente », alors les athlètes se préparent à concourir. Ces moments lui rappellent l’époque où il concourrait, alors qu’il se trouve avec les athlètes durant leurs derniers instants avant d’entrer dans la piscine. Cette salle offre une occasion unique de voir des athlètes de calibre mondial s’efforcer de se concentrer et se focaliser.

Ces Jeux ont également permis à Dan de voir de près comment fonctionnent d’autres organismes sportifs.

« On acquiert des connaissances de toutes parts et ce fut aussi une expérience éducative », a ajouté Dan. « Ces Jeux donnent la chance de voir comment divers organismes dirigent leurs sports et organisent leurs épreuves. D’excellentes idées abondent et peut-être que je pourrais en utiliser une ou deux à Patinage Canada. »

C’est à peu près la seule chose que Dan prendra cette semaine.

Tout le reste visera à donner en retour.

Bénévoles honorés pour leur dévouement au patinage

Chaque organisme à but non lucratif se mesure en fonction de la compétence de son armée de bénévoles. Bien que la gestion de l’entreprise et l’élaboration de ses programmes puissent émaner d’un bureau national, comme Patinage Canada, ce sont les gens inspirants au niveau local qui animent vraiment l’organisation.

Compte tenu des 1 400 clubs de Patinage Canada environ, dans de petites et grandes villes partout au pays, il faut des milliers de bénévoles pour assurer l’exploitation des clubs, organiser les événements, interagir avec les membres actuels et potentiels et définir la place du club dans la communauté.

La plupart des bénévoles sont entrés dans le monde du patinage parce qu’ils voulaient que leurs enfants apprennent à patiner. Puis, à mesure que l’intérêt et l’engagement de leurs enfants se sont accrus, leur participation a aussi augmenté, à un point où le fait d’offrir leur temps pour aider à assurer une bonne exploitation du club semblait aller de soi pour appuyer le passe-temps de leurs enfants.

Ils ont découvert que le bénévolat exige tout et n’importe quoi : aussi peu qu’une heure de votre temps ou aussi sérieux que de siéger au conseil d’administration du club. Et, toute une gamme de tâches peut être exigée… planification d’horaires sur glace, achat de temps de glace, administration et arbitrage, collecte de fonds, coordination des journées de tests, production de spectacles sur glace, conception de plans de marketing et de promotion… et même le rôle de psychologue, de négociateur et de chef d’équipe.

Si ceci ressemble à une effrayante fosse aux serpents, ça peut l’être… mais le bénévolat peut aussi mener à des expériences susceptibles d’avoir un impact durable sur la vie : amitié, esprit d’équipe, maîtrise de nouvelles compétences de la vie et établissement de partenariats très fructueux.

Au gala et banquet de remise des distinctions aux bénévoles, tenu durant le Congrès annuel et assemblée générale qui aura lieu à Winnipeg, on peut demander aux incroyables bénévoles honorés pour leurs services exceptionnels ce que le patinage a ajouté à leur vie. Les lauréats de prix proviennent de toutes les provinces et de tous les domaines du patinage… bénévolat dans les clubs et sections, entraîneurs et officiels… mais, leurs messages individuels concernant la valeur des partenariats sont constants et souvent communiqués d’une seule voix.

« Le succès commence manifestement au niveau local et se poursuit jusqu’au niveau de l’élite. Promouvoir que nous sommes tous des partenaires du progrès du patinage montre que toutes les parties de la famille de patinage sont importantes, qu’il s’agisse de patineurs de Patinage Plus, d’athlètes d’élite, d’entraîneurs, de bénévoles ou d’administrateurs », déclare Laurie Bertholet, mère de de la représentante du Manitoba pour le Prix de l’athlète du Patinage de compétition.

Et comme l’a indiqué Therese Bilsborough, gagnante du prix du Nord de l’Ontario, la capacité d’avoir recours aux points forts de tous les partenaires est l’une des clés du succès. « J’estime que les partenariats avec nos bénévoles, municipalités, utilisateurs de la patinoire et le monde des affaires sont absolument nécessaires pour que mon club et ma communauté prospèrent. »

Ces jours-ci, avec tant d’autres activités qui visent à accaparer le temps et l’argent des participants, le défi pour le patinage et nos clubs est de reconnaître la réalité du paysage actuel des loisirs et d’offrir une activité et un environnement qui sont positifs, productifs et amusants.

La gagnante du Nouveau-Brunswick, Carole Tiffault, décrit une telle activité de son club, Lames d’or Dieppe. « Nous faisons la promotion de nos programmes auprès d’autres sports comme la ringuette, le hockey et le patinage de vitesse. Toutes nos associations font leurs inscriptions ensemble afin que les gens soient au courant de tous les sports offerts. »

Cindy Ramsay, de l’Î.-P.-É., convient qu’il est essentiel de s’entendre avec les autres groupes dans la patinoire. Toutefois, la recherche de partenariats à l’extérieur de la patinoire peut aussi présenter des résultats inattendus. « Nous devons créer une bonne relation de travail avec la municipalité afin d’être pris en considération lors de l’affectation de ressources, avec les entreprises locales pour pouvoir puiser dans leurs ressources, avec les écoles secondaires afin de pouvoir accéder aux bénévoles éventuels et avec les médias locaux pour assurer la couverture de nos événements. »

À quoi ressemble un bon partenariat pour nos gagnants?

Doug Pettapiece de la section de l’Alberta, des Territoires du Nord-Ouest et de Nunavut en décrit les principales caractéristiques. « Il faut s’accorder sur un but commun et il doit y avoir une ouverture d’esprit, une transparence, une confiance et un respect mutuel pour toutes les parties concernées. »

La gagnante de Terre-Neuve-et-Labrador, Susan Thistle, va encore plus loin. « Les buts doivent être clairement définis afin qu’une stratégie puisse être établie pour atteindre le but. Chaque partenaire doit comprendre son rôle respectif dans le partenariat… et pour bien travailler ensemble. »

La gagnante de la section du Centre de l’Ontario de Patinage Canada, Joanne Phelps, ajoute un morceau simple, mais crucial du casse-tête : « La collaboration et le respect sont essentiels à tout partenariat réussi! »

Il est vrai que certains bénévoles contribuent au club des compétences professionnelles particulières et, certainement, ces ressources sont d’une valeur inestimable pour le succès d’un club. La plupart des autres bénévoles offrent toutefois des choses qui ne sont peut-être pas aussi tangibles, mais tout aussi importantes… un plus grand et meilleur sac rempli de trucs… motivation, dévouement et temps.

Peut-être qu’ils ont eu une excellente expérience de patinage dans leur enfance, peut-être que leurs enfants apprennent à patiner au club et qu’ils estiment de leur devoir de faire du bénévolat ou peut-être qu’ils sont des officiels. Les raisons pour y parvenir sont aussi diverses que le patinage communautaire même, mais ils s’entendent sur une chose… donner de leur temps à un sport qui a en quelque sorte ou d’une certaine façon enrichi leurs vies.

Se fondant sur sa myriade d’expériences, Sarah Miles, de Nouvelle-Écosse, s’exprime parfaitement. « Il faut beaucoup de gens pour assurer la réussite d’une organisation sportive. Si ces partenariats sont vraiment positifs, ils peuvent créer un engagement et un amour à vie du patinage. »